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Le lait de soja n'existe pas

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El Cour de justice de l'Union européenne a déterminé que les produits végétaux ou les boissons frappées et les produits à base de légumes, comme ce qu'on a appelé lait de soja, ne peut pas être commercialisé sous le nom lait. Et la même chose se produit avec le beurre de tofu. Ainsi, les dénominations «Lait» et «beurre» sont réservés aux produits d'origine animale.

En Espagne, vous pouvez toujours dire lait d'amande, mais le lait de soja disparaît

Le tribunal indique que le droit communautaire réserve les noms de  lait, beurre, crème, fromage, yaourt et chantilly aux produits dérivés de lait.

Cependant, il mentionne quelques exceptions pour les produits qui ont traditionnellement été appelés crème. Ils sont utilisés dans boissons alcoolisées ou soupesainsi que le terme français crème de riz (farine de riz à la crème).

En Espagne est le cas du lait d'amande, parce que populairement, cela a toujours été appelé ainsi. Ils ne seraient pas obligés de supprimer le terme de l'étiquette lait. La même chose se produit avec l'appel lait de coco dans des pays comme Portugal, France et Royaume-Uni.

Mais il est clair que les jours des yaourts faits avec protéines de soja, lait de soja, flocons d'avoine et noisettes, ainsi que beurre de tofu.

L'interprofessionnel laitier a voulu mettre en évidence les bienfaits du les produits laitiers. De plus, ils ont demandé au secteur de la distribution de ne pas mettre ces produits sur la même étagère que le lait. Ainsi que les fabricants de ces boissons qui n'utilisent pas de récipients très similaires qui sèment la confusion chez les consommateurs.

Cette phrase se termine par le litige de la société allemande Tofuville. Il a utilisé la dénomination de lait de soja. Il a fondé sa défense en disant qu'il indiquait toujours le mot soja à côté du lait.

Association allemande contre la concurrence déloyale (Verband Sozialer Wettbewerb) a porté l'affaire devant les tribunaux. Malgré la défense de l'entreprise, le tribunal a indiqué que «le fait d'ajouter des mentions descriptives ou explicatives n'empêche pas avec certitude le risque de dérouter le consommateur».

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